Enquête sur le commerce des semences de maïs

Information détaillée pour 1er juillet 2008 au 30 juin 2009

Statut :

Inactive

Fréquence :

Annuelle

Numéro d'enregistrement :

3451

La présente enquête a pour objet d'obtenir des renseignements sur les ventes de semences de maïs et d'aider à la détermination de la superficie ensemencée en maïs dans les différentes régions du Canada.

Date de la parution - 9 mars 2010

Aperçu

Cette enquête vise à recueillir des données auprès de tous les grossistes connus de semences de maïs. Ces données sont utilisées par l'industrie des semences de maïs pour identifier les tendances et évaluer les parts du marché, ainsi que pour la prise de décisions.

Période de référence : 1er juillet au 30 juin

Période de collecte : octobre et novembre

Sujets

  • Agriculture et alimentation (anciennement Agriculture)
  • Cultures et horticulture

Sources de données et méthodologie

Population cible

Tous les grossistes connus de semences de maïs (environ 20) de l'est du Canada. La liste est mise à jour par des sources d'industrie.

Élaboration de l'instrument

Le questionnaire a été conçu par des spécialistes du domaine en consultation avec les provinces et les experts du secteur. Au besoin, on modifie, ajoute ou supprime les questions. On détermine habituellement les changements à apporter en s'appuyant sur la recherche des spécialistes du domaine et les changements des tendances du marché.

Échantillonnage

Il s'agit d'un recensement avec plan transversal.

Cette méthodologie ne s'applique pas.

Sources des données

Il s'agit d'une enquête à participation volontaire.

Les données sont obtenues directement auprès des répondants.

L'enquête est menée par la poste une fois l'an. Dans les cas de non-réponse un suivi téléphonique est employé. Les questionnaires sont retournés par la poste ou par méthodes électroniques.

Voir le(s) Questionnaire(s) et guide(s) de déclaration .

Détection des erreurs

Les questionnaires sont vérifiés à la main et par comparaison des données à celles des années antérieure. Il y a un suivi téléphonique pour les données non vérifiables.

Imputation

L'imputation suppose l'établissement de la moyenne des données déclarées antérieurement par les entreprises.

Estimation

Cette méthodologie ne s'applique pas à ce programme statistique.

Évaluation de la qualité

Les données diffusées pourraient contenir un certain nombre d'erreurs qui seraient attribuables aux renseignements incorrects transmis par les répondants ou aux erreurs commises à l'étape du traitement. Pour minimiser cette possibilité, on a accordé un soin particulier à la conception du questionnaire, on effectue une vérification des données pour en déceler les incohérences et, par la suite, on procède au suivi et au contrôle de la qualité du traitement manuel.

La qualité des données est maintenue à l'aide de techniques de contrôle très strictes. Des membres du personnel ayant une formation professionnelle examinent les données et, selon le besoin, communiquent avec les entreprises concernées. Les consultations auprès des experts agricoles provinciaux contribuent à la vérification des estimations recueillies par l'enquête.

Contrôle de la divulgation

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer toute information recueillie qui pourrait dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme sans leur permission ou sans en être autorisé par la Loi sur la statistique. Diverses règles de confidentialité s'appliquent à toutes les données diffusées ou publiées afin d'empêcher la publication ou la divulgation de toute information jugée confidentielle. Au besoin, des données sont supprimées pour empêcher la divulgation directe ou par recoupement de données reconnaissables.

Afin de prévenir toute divulgation de données, une analyse de confidentialité est faite au moyen du Système généralisé de contrôle de la divulgation (G-Confid) de Statistique Canada. G-Confid est utilisé pour la suppression primaire (divulgation directe), ainsi que pour la suppression secondaire (divulgation par recoupements). Il y a divulgation directe lorsque la valeur dans une cellule de totalisation se compose de peu de déclarants ou que la cellule est dominée par quelques entreprises. Il y a divulgation par recoupements lorsque des renseignements confidentiels peuvent être extraits indirectement en rassemblant des renseignements provenant de différentes sources ou séries de données.

Révisions et désaisonnalisation

Cette méthodologie ne s'applique pas à cette enquête.

Exactitude des données

Bien que des efforts considérables soient déployés pour maintenir des normes de qualité élevées à toutes les étapes de la collecte et du traitement, les estimations qui en résultent sont inévitablement susceptibles de comporter un certain nombre d'erreurs non dues à l'échantillonnage (par exemple, des erreurs de couverture, des erreurs de réponse, des erreurs de non-réponse et des erreurs de traitement).

Les erreurs de couverture peuvent découler d'une liste incomplète et d'un sous-dénombrement de la population. On considère que toutes les erreurs de couverture seraient temporaires et que leur influence sur les estimations produites serait minime.

Les erreurs de réponse peuvent être causées par la conception du questionnaire, par les caractéristiques d'une question, par l'incapacité ou la réticence du répondant à fournir la bonne information, par la mauvaise interprétation des questions ou par des problèmes de définition. Ces erreurs sont contrôlées grâce au soin apporté à la conception du questionnaire, à l'utilisation de concepts simples et aux vérifications de la cohérence. Les répondants sont bien familiers avec les concepts de l'enquête.

Les erreurs de non-réponse sont causées par les répondants qui refusent de répondre, qui sont incapables de répondre ou qui produisent leur déclaration trop tardivement. Les données sont alors imputées. L'importance d'une erreur d'imputation diminue à mesure que le taux de réponse augmente. On essaie donc d'obtenir le plus haut taux de réponse possible. Le taux de réponse définitif pour la présente enquête est de 90 %. Les analystes restent en contact avec les répondants afin de maintenir le taux de réponse élevé.

Les erreurs de traitement peuvent se produire à différentes étapes du traitement comme au cours de l'entrée, de la vérification et de la totalisation des données. Des mesures ont été prises afin de réduire au minimum ces erreurs. L'entrée et la vérification des données sont faites en même temps en raison de la conception du chiffrier qui permet de déceler rapidement les erreurs. Les ratios historiques contribuent aussi à éliminer les valeurs aberrantes créées par l'entrée de données. La totalisation est automatisée afin d'éliminer l'erreur humaine.

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