Enquête internationale sur l'alphabétisation et les compétences des adultes (EIACA)

Information détaillée pour 2003

Statut :

Active

Fréquence :

Occasionnelle

Numéro d'enregistrement :

4406

L'Enquête internationale sur l'alphabétisation et les compétences des adultes (EIACA) est le volet canadien de l'Enquête sur la littératie et les compétences des adultes (ELCA). L'objectif principal de l'enquête était de déterminer dans quelle mesure les adultes utilisent bien l'information imprimée pour fonctionner dans la société. Les données d'enquête comprennent des renseignements généraux (caractéristiques démographiques, études, langue, population active, formation, utilisations de la littératie, technologies de l'information et des communications, revenu) et des résultats psychométriques sur les compétences des répondants dans quatre domaines : la compréhension de textes suivis, la compréhension de textes schématiques, la numératie et la résolution de problèmes.

Date de la parution - 11 mai 2005 (rapport international) ; 9 novembre 2005 (données nationales) ; 30 novembre 2005 (rapport national)

Aperçu

L'Enquête internationale sur l'alphabétisation et les compétences des adultes a été menée en 2003 sur l'initiative de sept pays. Dans chaque pays, des échantillons nationaux représentatifs d'adultes de 16 à 65 ans ont été interviewés, et des tests leur ont été administrés à leur domicile. On a utilisé le même test psychométrique pour mesurer la compréhension de textes suivis et de textes schématiques ainsi que les compétences en numératie et en résolution de problèmes.

Au Canada, la population visée par l'enquête a été élargie de manière à fournir des renseignements sur les répondants de plus de 65 ans. L'objectif principal de l'enquête était de déterminer la mesure dans laquelle les adultes utilisent bien l'information imprimée pour fonctionner au sein de la société. Un autre objectif consistait à recueillir des données sur la fréquence et le volume de la participation à l'éducation et à la formation des adultes, ainsi qu'à étudier la relation entre l'instruction initiale et l'éducation des adultes, d'une part, et entre le niveau de littératie, numératie et résolution de problèmes et ses aspects économiques et sociaux plus vastes, d'autre part.

En outre, un objectif secondaire était de fournir de l'information sur l'évolution de la répartition des compétences au fil des ans depuis l'enquête précédente (Enquête internationale sur l'alphabétisation des adultes de 1994 -- pour avoir accès aux métadonnées de 1994, veuillez vous référer au lien « Autres périodes de référence » situé au menu latéral ci-dessus). Le lien entre les deux mesures a été fait à l'aide de points de l'étude de 1994 conservés pour l'étude de 2003.

On retrouve parmi les utilisateurs de données, les gouvernements provinciaux et fédéral, les chercheurs universitaires, les professionnels en matière de développement des compétences en littératie, les médias et le public en général qui s'intéresse à la littératie. Les données sont utilisées à des fins de développement de politiques, pour aider l'allocation efficace de ressources et pour éclairer la prise de décision sur l'élaboration de contenu des cours en matière de développement et d'amélioration des compétences de base dans le contexte de la formation et de l'éducation des adultes.

Sujets

  • Éducation et formation des adultes
  • Éducation, formation et apprentissage
  • Littératie

Sources de données et méthodologie

Population cible

Il s'agit d'une enquête transversale par échantillon qui représente les adultes canadiens âgés de 16 ans et plus ne résidant pas dans des institutions ou sur des réserves autochtones. En plus d'estimations provinciales et territoriales, l'enquête visait à produire des estimations fiables pour une variété de populations cibles particulières comme les immigrants nouveaux et établis, les francophones au Nouveau-Brunswick, au Manitoba et en Ontario, les anglophones au Québec, les Autochtones vivant en milieu urbain au Manitoba et en Saskatchewan, les jeunes au Québec et en Colombie-Britannique et les résidents autochtones des territoires du Nord.

La population couverte de fait par l'enquête différait à plusieurs égards, mais toutes ces exclusions combinées respectent la norme d'enquête d'un maximum de 2 % de la population totale. Les résidents de régions peu peuplées étaient exclus de la population observée. Selon les estimations, la couverture de l'enquête a atteint 98,5 % à l'échelle nationale, et de 95 % à près de 100 % pour les provinces. Dans les territoires du Nord, des niveaux moindres de couverture (de 70 % à 90 %) ont été obtenus.

Les échantillons aléatoires stratifiés tirés des ménages du Recensement de la population de 2001 renfermaient les ménages auprès desquels l'enquête serait menée. Le Recensement a également permis de déterminer efficacement les ménages qui représenteraient de façon probable des répondants de chaque population cible particulière. Après la prise de contact avec un ménage sélectionné, on a interviewé au hasard un répondant âgé de plus de 16 ans auquel on a administré un test papier-crayon. D'autres critères de sélection, comme la langue maternelle, le statut d'immigrant et le statut d'autochtone, ont été établis pour les ménages sélectionnés dans l'un des échantillons de populations cibles particulières.

Élaboration de l'instrument

Le questionnaire d'enquête et les livrets de tâches psychométriques ont été conçus par un groupe de spécialistes de tous les coins du monde. Chaque item de tâche a été traduit en anglais et cette version a fourni les items de base devant être adaptés par chaque pays participant dans sa propre langue. Tous les instruments ont été mis à l'essai dans le cadre d'une enquête pilote menée à l'automne de 2001 pour laquelle les livrets de tâches en forme finale créés comprenaient les items fournissant les paramètres les plus fiables et les plus stables dans tous quatre domaines. Bon nombre des questions sur les antécédents et une sélection de tâches sur la compréhension de textes suivis et schématiques posées dans l'enquête de 2003 remontaient à l'Enquête internationale sur l'alphabétisation des adultes de 1994 afin de procurer un certain lien psychométrique qui permettrait de faire des comparaisons limitées entre la répartition des compétences au fil du temps.

Les instruments d'enquête comprenaient un questionnaire de base rempli au domicile du répondant par un intervieweur de Statistique Canada, un bref livret des tâches de sélection constitué de six tâches de littératie simples. Si le répondant pouvait répondre facilement à trois des six questions, on leur remettait alors un livret de tâches plus long comprenant des stimuli et des questions reliés aux quatre domaines de compétence : compréhension de textes suivis, compréhension de textes schématiques, numératie et résolution de problèmes. Les items de chaque domaine étaient présentés en blocs d'environ 15 items (deux blocs de textes suivis, deux blocs de textes schématiques, deux blocs de numératie et deux blocs de résolution de problèmes). Ces blocs ont fait l'objet d'une rotation, si bien que 28 livrets ont été créés contenant chacun trois blocs. Ces blocs ont été combinés dans les livrets de façon à ce que chaque bloc soit apparié aux autres blocs en première, deuxième et troisième position. Chaque répondant recevait au hasard un des 28 livrets. En utilisant un modèle de la TRI à trois paramètres, des valeurs de compétence plausibles variant de 0 à 500 pour chaque domaine mesuré ont été attribuées aux répondants dans le fichier de données définitives.

Le questionnaire de base permettait de recueillir de l'information sur l'appartenance ethnique, le statut d'immigrant, les études (section élaborée), l'information linguistique, l'autoévaluation de la lecture et de l'écriture dans la langue maternelle, la scolarité et l'occupation des parents, la situation et les antécédents de travail, la profession, le secteur d'activité, les pratiques de littératie, de numératie et de résolution de problèmes au travail, les salaires, l'éducation et l'apprentissage des adultes (section élaborée), les pratiques de littératie et de numératie à la maison, l'engagement communautaire, la santé mentale et physique, l'utilisation et la connaissance des technologies de l'information et des communications, l'information sur le ménage (p. ex., la taille de la famille, le nombre de livres à la maison, les pratiques de lecture avec les enfants) et le revenu.

Échantillonnage

Il s'agit d'une enquête transversale par échantillon.

On a utilisé aux fins de l'EIACA un plan d'échantillonnage à plusieurs degrés. L'unité d'échantillonnage était le ménage. La base de sondage était celle du Recensement de la population de 2001 (date de référence : 15 mai). Un échantillon probabiliste à plusieurs degrés stratifié a été utilisé pour sélectionner l'échantillon à partir de la base du recensement.

Chaque province a été divisée en deux strates : une strate urbaine formée de grands centres urbains, et une strate rurale formée de petits centres urbains et de régions rurales.

Dans la strate urbaine, deux degrés d'échantillonnage étaient utilisés. Au premier degré d'échantillonnage, les logements étaient sélectionnés systématiquement avec probabilité proportionnelle à la taille du ménage. Au deuxième degré, une personne était sélectionnée au hasard à partir de la liste des membres admissibles du ménage résidant dans le logement sélectionné au moment de la collecte des données.

Afin de réduire les coûts de la collecte, trois degrés d'échantillonnage étaient utilisés dans la strate rurale. La strate rurale de chaque province était divisée en régions géographiques plus petites appelées grappes. Le premier degré d'échantillonnage consistait à sélectionner les grappes avec probabilité proportionnelle à la taille de la population. Le deuxième degré d'échantillonnage consistait à sélectionner les logements à partir de chaque grappe retenue. Comme pour la strate urbaine, le dernier degré d'échantillonnage consistait à sélectionner au hasard une personne admissible pour chaque logement sélectionné.

Un échantillon de base de 16 000 logements a été sélectionné pour représenter la population générale. De plus, 24 000 autres logements ont été sélectionnés dans des échantillons supplémentaires visant les sous-populations suivantes : francophones au Nouveau-Brunswick, en Ontario et au Manitoba, anglophones au Québec, immigrants au Québec, en Ontario, en Alberta et en Colombie-Britannique, jeunes (16 à 24 ans) au Québec, jeunes (16 à 29 ans) en Colombie-Britannique, Autochtones vivant en région urbaine au Manitoba et en Saskatchewan, Autochtones et non-Autochtones au Yukon, dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut.

Sources des données

Collecte des données pour cette période de référence : 2003-04-03 à 2003-08-20

Il s'agit d'une enquête à participation volontaire.

Les données sont obtenues directement auprès des répondants.

Les données ont été recueillies au domicile de chaque répondant. Lorsque possible, on a procédé à la prise de contact et à la présélection par téléphone pour confirmer l'adresse à domicile du répondant sélectionné et prendre rendez-vous pour aller chez lui au moment qui lui convenait. Les réponses par personne interposée n'étaient pas permises. Le questionnaire de référence a été administré par l'intervieweur au moyen de techniques d'interview assistée par ordinateur. Une fois le questionnaire rempli, on a remis au répondant un bref livret contenant six tâches simples (le livret des tâches de base) ainsi qu'un crayon et une gomme à effacer. L'intervieweur a attribué des notes aux réponses données dans le livret et, si le répondant avait répondu correctement à trois des six questions, lui a remis un livret de tâches plus long. En tout, 28 livrets de tâches ont été créés en combinant deux blocs d'items d'un ensemble de huit blocs (quatre mesurant la compréhension de textes suivis et de textes schématiques, deux mesurant la numératie et deux mesurant le domaine de résolution de problèmes). Chaque bloc comprenait en moyenne environ 40 questions se rattachant à quelque 15 stimuli particuliers (d'autre matériel de test comme un journal, une calculatrice, une règle et des modèles ont été fournis lorsqu'approprié). Les blocs ont été combinés dans les 28 livrets de manière à ce que chaque bloc figure dans le livret apparié à chacun des autres blocs en première et en deuxième position. On a donné à chaque répondant tout le temps dont il avait besoin pour répondre au plus grand nombre de questions possible dans l'un des livrets. Le livret devant être remis au répondant a été attribué d'avance de façon aléatoire à chaque ménage échantillonné. Une fois remplis, les livrets ont été acheminés à Statistique Canada où des notes ont été attribuées par des spécialistes ayant reçu la formation voulue en application des critères internationaux de notation. Des exemples de tâches que l'on retrouve dans ces livrets sont inclus dans l'annexe B de la publication gratuite «Miser sur nos compétences : Résultats canadiens de l'Enquête internationale sur l'alphabétisation et les compétences des adultes» (disponible dans le catalogue en ligne numéro 89-617-XIF ou en cliquant sur le lien «Publications» du menu latéral ci-dessus).

Voir le(s) Questionnaire(s) et guide(s) de déclaration .

Détection des erreurs

Les données de l'EIACA ont été recueillies à l'aide d'une application d'enquête assistée par ordinateur. Par conséquent, une bonne partie de la détection des erreurs et de la vérification s'est faite durant la collecte. La validation des valeurs non spécifiées était effectuée par l'intervieweur lorsqu'elles étaient signalées par l'application Blaise à l'ordinateur, et l'application assurait automatiquement l'enchaînement des questions d'après la logique prédéterminée et les réponses précédentes du répondant.

Une fois les données recueillies et transmises au Bureau central, la détection des erreurs se faisait en trois étapes. La première étape consistait à procéder à l'épuration générale des données afin : 1) d'éliminer les enregistrements en double du fichier, 2) de vérifier le questionnaire de base en se référant au fichier de l'échantillon, 3) de vérifier l'intégrité du code d'état, 4) de repérer les enregistrements manquants, et 5) de créer un fichier de réponses.

L'étape de vérification du traitement des données comprenait une série d'étapes de vérification à réaliser. Premièrement, une vérification descendante a épuré les chemins empruntés par erreur durant l'interview. Cette étape était suivie de contrôles de cohérence pour certaines variables clés. Elle assurait une concordance entre des variables telles que l'âge, l'année d'immigration, le nombre d'années de scolarité officielle, l'âge du répondant lorsqu'il a entrepris une formation et l'âge du répondant lorsqu'il a atteint son plus haut niveau de scolarité. La troisième étape d'assurance de la qualité comprenait l'imputation de certaines valeurs et la dérivation de variables afin de faciliter l'analyse et de respecter la confidentialité de nos répondants.

Imputation

Les données manquantes ont été imputées pour un petit nombre de variables à l'aide du logiciel Impudon. L'imputation par le plus proche voisin a été utilisée, ce qui consiste à copier l'information d'un enregistrement donneur possédant des caractéristiques semblables.

La langue de la tâche a été imputée pour les répondants qui n'ont pas rempli un livret de tâches; l'imputation a été effectuée pour environ 9 % des enregistrements. Le revenu personnel et le revenu du ménage total ont été imputés pour les enregistrements qui signalaient un palier pour le revenu plutôt qu'une valeur. De même, l'âge, le niveau de scolarité, l'année d'immigration et le statut d'autochtone ont été imputés pour un nombre restreint d'enregistrements, moins de 0,1 % de l'ensemble des enregistrements.

Estimation

Les estimations sont produites à l'aide de poids attribués à chaque unité échantillonnée. Le poids d'une unité échantillonnée indique le nombre d'unités dans la population représentée par l'unité. Les poids ont été calculés en plusieurs étapes :

1) Un poids initial a été calculé d'après la probabilité de sélection de l'unité dans l'échantillon.

2) Les poids ont été ajustés pour tenir compte de la non-réponse.

3) Les poids de l'échantillon de base et les divers échantillons supplémentaires ont été intégrés à l'aide d'une méthode à bases de sondage multiples.

4) Une estimation par régression généralisée (GREG) a été utilisée pour calibrer les poids et les faire concorder avec les chiffres de population externe.

La qualité des estimations est évaluée à l'aide d'estimations de leur coefficient de variation (CV). Compte tenu de la complexité du plan d'enquête de l'EIACA, les CV ne peuvent être calculés à l'aide d'une formule simple. On a donc utilisé des poids de rééchantillonnage jackknife pour établir les CV des estimations.

Évaluation de la qualité

Afin d'obtenir des données de très bonne qualité, les lignes directrices sur l'administration d'enquêtes internationales ont été suivies, complétées par une stricte observation des politiques et procédures internes de Statistique Canada.

Les interviews étaient menées à domicile de façon neutre et sans pression. Une formation et une supervision des intervieweurs étaient assurées, mettant l'accent sur l'importance des précautions à prendre contre le biais de non-réponse. Les intervieweurs avaient spécifiquement comme instruction de retourner plusieurs fois chez les non-répondants pour obtenir le plus de réponses possible. Leur travail était supervisé au moyen de vérifications fréquentes de la qualité, particulièrement au début de la collecte des données.

Pour pouvoir participer à l'étude internationale, il était obligatoire de saisir et de traiter les fichiers au moyen de méthodes garantissant une cohérence logique et des niveaux acceptables d'erreur de saisie de données.

Les personnes chargées de la notation ont reçu une formation intensive en notation de réponses aux éléments ouverts. Afin d'assurer la qualité, la surveillance se faisait de deux manières. Premièrement, au moins 20 % des tâches étaient notées une nouvelle fois. Les deux séries de notes devaient concorder avec une précision d'au moins 95 % avant de passer à l'étape du traitement. Deuxièmement, une nouvelle notation internationale était effectuée. Dix pour cent de l'échantillon de chaque pays était noté par un autre pays. Une précision stricte était exigée : une correspondance de 90 % était obligatoire pour que les notes soient jugées acceptables.

Une étude a été réalisée pour découvrir la cause des écarts entre la distribution de la variable Niveau de scolarité de l'EIACA et celle du Recensement. L'étude a conclu que les effets conjugués des différences de formulation des questionnaires et des modes de collecte utilisés (interviews personnelles au lieu d'une énumération autoremplie) avaient eu une incidence considérable sur les estimations des deux enquêtes.

Contrôle de la divulgation

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer toute information recueillie qui pourrait dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme sans leur permission ou sans en être autorisé par la Loi sur la statistique. Diverses règles de confidentialité s'appliquent à toutes les données diffusées ou publiées afin d'empêcher la publication ou la divulgation de toute information jugée confidentielle. Au besoin, des données sont supprimées pour empêcher la divulgation directe ou par recoupement de données reconnaissables.

Afin de prévenir toute divulgation de données, une analyse de confidentialité est faite au moyen du Système généralisé de contrôle de la divulgation (G-Confid) de Statistique Canada. G-Confid est utilisé pour la suppression primaire (divulgation directe), ainsi que pour la suppression secondaire (divulgation par recoupements). Il y a divulgation directe lorsque la valeur dans une cellule de totalisation se compose de peu de déclarants ou que la cellule est dominée par quelques entreprises. Il y a divulgation par recoupements lorsque des renseignements confidentiels peuvent être extraits indirectement en rassemblant des renseignements provenant de différentes sources ou séries de données.

Révisions et désaisonnalisation

Cette méthodologie ne s'applique pas à cette enquête.

Exactitude des données

Couverture :
Selon les estimations, la couverture de l'enquête a atteint 98,5 % à l'échelle nationale, et de 95 % à près de 100 % pour les provinces. Dans les territoires du Nord, des niveaux moindres de couverture (de 70 % à 90 %) ont été obtenus étant donné que seulement les collectivités couvertes par l'Enquête sur la population active étaient incluses (les interviews sur place à l'extérieur de ces centres étaient jugées trop coûteuses ou peu pratiques).

Taux de réponse :
Le taux de réponse a été de 65,6 % à l'échelle nationale, avec des taux provinciaux variant de 59,5 % à 75,4 %.

Coefficient de variation (CV) :
La qualité des estimations est évaluée à l'aide d'estimations de leur coefficient de variation (CV). Des poids de rééchantillonnage jackknife sont utilisés pour établir les CV des estimations. Les lignes directrices suivantes sont recommandées :
- Si le CV est de moins de 16 %, l'estimation peut être utilisée sans restriction.
- Si le CV se situe entre 16 % et 33 %, l'estimation doit être utilisée avec prudence.
- Si le CV est de 33 % ou plus, ou si l'estimation repose sur moins de 30 observations, elle ne doit pas être diffusée.


Le tableau ci-dessous indique les CV pour la pourcentage de la population à chaque niveau de compétence de textes schématiques

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