Enquête sur les dépenses des administrations provinciales/territoriales au titre de la culture

Information détaillée pour 2002-2003

Statut :

Inactive

Fréquence :

Annuelle

Numéro d'enregistrement :

3116

Cette enquête vise à fournir des données dans le but de mieux comprendre les dépenses des administrations provinciales et territoriales au titre de la culture au Canada.

Date de la parution - 27 janvier 2005

Aperçu

La liste suivante comprend les secteurs culturels de l'enquête : 1) bibliothèques nationales; 2) bibliothèques publiques; 3) bibliothèques scolaires; 4) bibliothèques universitaires et collégiales; 5) musées; 6) archives publiques; 7) parcs et lieux historiques; 8) parcs naturels et parcs provinciaux; 9) autres ressources du patrimoine; 10) enseignement des arts; 11) littérature; 12) arts d'interprétation; 13) arts visuels et artisanat; 14) cinéma et vidéo; 15) radiodiffusion et télévision; 16) industrie du disque; 17) multiculturalisme; 18) activités multidisciplinaires; 19) autres.

Les données de l'enquête sont utilisées par tous les paliers d'administration publique pour l'évaluation et l'élaboration de leurs politiques et programmes culturels. Elles servent également à un large éventail d'organismes nationaux, provinciaux, territoriaux, municipaux et sectoriels (conseils des arts, agences, groupes de revendication, groupes de réflexion, organismes voués aux arts, établissements et chercheurs) aux fins d'évaluer et de concevoir des politiques culturelles ainsi que de justifier l'affectation de ressources.

Période de référence : L'exercice financier (entre le 1er avril de l'année de référence et le 31 mars de l'année suivante)

Période de collecte : Octobre à mars

Sujets

  • Culture et loisirs
  • Dépenses gouvernementales au titre de la culture

Sources de données et méthodologie

Population cible

Les ministères provinciaux et territoriaux et les organismes qui ont la responsabilité d'appuyer les arts et la culture.

Élaboration de l'instrument

L'instrument de collecte a été conçu en consultation avec les utilisateurs de données et les spécialistes de la conception de questionnaires. Sa dernière révision remonte à 1984.

Échantillonnage

Il s'agit d'un recensement avec plan transversal.

Cette méthodologie ne s'applique pas.

Sources des données

Collecte des données pour cette période de référence : Septembre 2003 à octobre 2004

Il s'agit d'une enquête à participation obligatoire.

Les données sont obtenues directement auprès des répondants.

Il s'agit d'un questionnaire envoyé et retourné par la poste avec suivi par télécopieur et par téléphone.

Voir le(s) Questionnaire(s) et guide(s) de déclaration .

Détection des erreurs

Une série de contrôles sont conçus pour cerner les problèmes de données. Ces contrôles comprennent les contrôles d'intervalle de la cohérence et historiques qui se font après la collecte dans le cadre du traitement.

Imputation

Pour résoudre les problèmes posés par des entrées manquantes, non valables ou incohérentes, on communique avec les répondants. Dans certains cas, aucune donnée n'est fournie à propos des bibliothèques d'écoles, d'universités et de collèges parce que les provinces et les territoires assurent un financement global des établissements au lieu de financer directement leurs bibliothèques. Les données sur les dépenses totales reliées à ces bibliothèques sont déterminées à partir des enquêtes relatives aux conseils scolaires et aux dépenses associées à l'enseignement universitaire et collégial. Ces données ne rendent pas compte de la contribution provinciale et territoriale aux dépenses reliées aux bibliothèques des écoles, des universités et des collèges. Le financement provincial et territorial des bibliothèques est imputé à partir de la part provinciale et territoriale du revenu total de ces établissements d'enseignement.

Estimation

Cette méthodologie ne s'applique pas à ce programme statistique.

Évaluation de la qualité

En plus de la contre-vérification des dossiers et de l'analyse de la tendance historique, des sources de données à l'intérieur et à l'extérieur de Statistique Canada sont utilisées pour comparer, réconcilier et valider la sortie de données finale.

Contrôle de la divulgation

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer toute information recueillie qui pourrait dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme sans leur permission ou sans en être autorisé par la Loi sur la statistique. Diverses règles de confidentialité s'appliquent à toutes les données diffusées ou publiées afin d'empêcher la publication ou la divulgation de toute information jugée confidentielle. Au besoin, des données sont supprimées pour empêcher la divulgation directe ou par recoupement de données reconnaissables.

Afin de prévenir toute divulgation de données, une analyse de confidentialité est faite au moyen du Système généralisé de contrôle de la divulgation (G-Confid) de Statistique Canada. G-Confid est utilisé pour la suppression primaire (divulgation directe), ainsi que pour la suppression secondaire (divulgation par recoupements). Il y a divulgation directe lorsque la valeur dans une cellule de totalisation se compose de peu de déclarants ou que la cellule est dominée par quelques entreprises. Il y a divulgation par recoupements lorsque des renseignements confidentiels peuvent être extraits indirectement en rassemblant des renseignements provenant de différentes sources ou séries de données.

Révisions et désaisonnalisation

En raison des révisions importantes faites par le gouvernement du Québec, les données relatives à la province de Québec pour les exercices 1998-1999 à 2001-2002 ont été révisées.

Exactitude des données

Étant donné que l'enquête vise tous les ministères et organismes provinciaux et territoriaux à vocation culturelle connus, les seules erreurs possibles sont celles qui ne sont pas dues à l'échantillonnage (couverture, non-réponse, mesure et traitement). Afin de réduire le plus possible l'erreur de couverture, on a eu recours à des sources multiples pour mettre à jour la base de sondage. Une conception soignée du questionnaire, des contrôles manuels et automatisés poussés, l'imputation de données en cas de non-réponse et la surveillance des opérations d'enquête sont autant d'éléments qui ont contribué à réduire l'ampleur des erreurs non dues à l'échantillonnage. Les données imputées au sujet des bibliothèques des écoles, des universités et des collèges ont représenté 19 % environ du budget total des administrations publiques provinciales et territoriales consacré à la culture. Le gouvernement du Nunavut est la seule entité manquante de la période de référence 2002 2003. L'information manquante est évaluée à 0,1 % du budget total des administrations publiques provinciales et territoriales consacré à la culture et a une incidence minime sur la comparabilité des données à l'échelon national.

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